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Test

07/07/2024

Numéro 0

Dell XPS 16 (9640)

L’esthétique prime sur la puissance

Dell décline le superbe XPS 13 Plus dans deux nouveaux formats de 14 et 16″. Avec son Core Utra 7 155H et sa RTX 4070 Laptop dans un châssis de moins de 1,9 cm d’épaisseur, le nouveau XPS 16 fait parti de ces nouveaux hybrides entre ultrabook et PC gamer et bons à tous faire. Mais vaut-il son prix ?

Par : Thomas Olivaux
Configuration testée :
3049 €

Table des matières

Fiche technique

Ecran : 16,3" OLED tactile (16:10 3840x2400)

Processeur : Intel Core Ultra 7 155H (16 cores, jusqu’à 4,8 GHz)

Mémoire vive : 32 Go LPDDR5X-7467

Carte graphique : Nvidia GeForce RTX 4070 8 Go (TDP XX

SSD : M.2 2280 NVMe 1 To

Connectique (gauche) : 2* USB Type-C (Thunderbolt 4)

Connectique (droite) : USB Type-C (3.2 Gen2 avec PD et DP), jack combo, lecteur

microSD (UHS-II)

Webcam : 1080p (compatible Windows Hello)

Réseau : Wi-Fi 7 (Killer 1750)

Batterie : 99,6 Wh

Dimensions : 35,82 x 24 x 1,87 cm

Poids : 2,2 kg

Les PC portables XPS de Dell bénéficient des derniers raffinements technologiques et d’une finition haut de gamme. On ne présente plus le célèbre ultrabook XPS 13 qui fait partie des meilleurs de sa catégorie depuis des années. L’essai du jour porte sur le nouveau XPS 16, numéro de modèle 9640, qui reprend le design novateur et futuriste introduit par le XPS 13 Plus en 2022. Précisons que Dell a sorti en même temps un XPS 14 avec la même esthétique, les XPS 14 et XPS  16 remplaçant les anciens XPS 15 et XPS 17. Le XPS 16 débute à 1899 € sur le site français de Dell, sachant que notre modèle de test nettement plus musclé et bénéficiant d’un écran OLED est affiché 3449 € au moment d’écrire ces lignes ; il n’est pas le plus haut de gamme pour autant puisqu’on peut encore opter pour un meilleur CPU (jusqu’à l’Ultra 9 185H), deux fois plus de RAM (jusqu’à 64 Go) et jusqu’à 4x plus d’espace de stockage (4 To).

Un design superbe

Le XPS 16 est construit dans un très beau châssis en aluminium découpé par une commande numérique (CNC) et proposé soit en Platinum (gris très clair comme notre version d’essai) soit en Graphite (gris très foncé). La partie supérieure de la base, c’est-à-dire ce qui entoure le clavier, est en verre anti-rayures Corning Gorilla Glass 3. On remarque rapidement deux caractéristiques esthétiques qui le distinguent des autres portables. Le touchpad et les touches de fonction sont totalement invisibles ! Le touchpad est dissimulé sous le repose-poignet en verre, sans aucun repère esthétique pour en déterminer les limites, ce qui est aussi beau que peu pratique. Tout du moins au début, le temps d’en apprendre le format et de s’habituer. Les touches de fonction sont tactiles, cachées sous le ruban de verre qui surplombe le clavier. Là aussi c’est superbe mais sans doute pas aussi confortable à utiliser que de vraies touches physiques. L’écran de 16,3″ est au ratio 16:10, un format légèrement plus haut que le 16:9 qui revient en force ces derniers temps après avoir disparu au milieu des années 2010. Il faut dire que pour travailler, c’est un peu plus confortable car on a moins souvent besoin de faire défiler. Quant à profiter d’un film ou d’une série en 16:9, l’image est aussi grande sur un 16,3″ 16:10 que sur un 15,6″ 16:9. Les bordures de celui-ci sont ultra fines, ce qui est à la fois très stylé et donne l’impression d’un écran encore plus grand qu’il ne l’est. Bien qu’il soit très beau, le XPS 16 n’est pas le plus mobile de sa catégorie. En effet il mesure 1,87 cm d’épaisseur là où, par exemple, le Samsung Galaxy Book4 Ultra se contente de 1,65 cm bien qu’il dispose de la même configuration matérielle. De même, il pèse 2,2 kg contre 1,86 kg pour le Samsung.

On ne se lasse pas de l’OLED

Le XPS 16 est proposé avec deux configurations écran. Soit un IPS en 1920×1200 (FHD+), soit un OLED tactile en 3840×2400 (UHD+). Notre modèle de test est équipé du second, qui représente un surcoût d’environ 300 €. Si on sait avant même l’essai qu’on sera fan du choix de la technologie OLED qui délivre généralement une qualité d’image magnifique, on est en droit de se questionner sur le choix d’une telle définition qui n’apporte pas grand-chose sur un PC portable et qui met les composants (et donc l’autonomie) à rude épreuve. Même avec des yeux de jeune de 20 ans, il est quasiment impossible de s’en servir sans utiliser le zoom de Windows à 200 %. Alors certes il y a l’effet Retina, l’image est effectivement plus fine qu’en 1920×1200, mais on aurait apprécié que l’écran haut de gamme soit en 2880×1800 plutôt qu’en 3840×2400 car s’eut été bien suffisant. En SDR on mesure une luminosité maximale de 389 cd/m²). C’est tout à fait correct, d’autant que la dalle ne reflète pas trop si bien que le PC est assez confortable à utiliser en extérieur. Avec un DeltaE moyen de 2,75, la fidélité des couleurs est au rendez-vous, encore que ce soit encore mieux (DeltaE de 1,9) en activant le profil Photo dans l’application MyDell (par défaut, c’est le profil Dynamique).

En HDR, la luminosité progresse jusqu’à 525 cd/m² et la colorimétrie est proche de la perfection (DeltaE de 1,2). Dans les deux cas, la température des couleurs est assez neutre, relevée autour des 6600 °K. OLED oblige, le contraste est parfait. Seul petit bémol, on remarque un léger effet de trame sur un fond blanc en étant très près de l’écran. C’est inhérent à cette génération de dalle OLED, comme le rafraîchissement à 90 Hz. Ça peut sembler un peu juste pour un PC de 2024 vendu plus de 3000 €, mais compte tenu de l’usage avant tout multimédia de cette machine et de la difficulté d’avoir des jeux qui tournent à plus de 90 FPS en 4K, c’est finalement suffisant. D’autre part si le gain de fluidité se remarque assez facilement en passant de 60 à 90 Hz, c’est moins évident au-delà. Sur un laptop comme le Samsung Galaxy Book4 Ultra qui bénéficie des dernières dalles OLED, on passe à 120 Hz et sans trame visible, mais le géant coréen vend son modèle équipé de la même configuration matérielle au tarif prohibitif de 3899 €, soit 13 % plus cher que le Dell. L’écran tactile ne craint vraiment pas les rayures et peu les traces de doigts grâce à sa protection en Gorilla Glass Victus, le plus sophistiqué des verres renforcés de Corning sorti en 2020.

 Un clavier beau et confortable

Le clavier est aussi sympa à utiliser qu’il est beau. Les touches sont grandes (à l’exception des flèches haut et bas du curseur) et la touche entrée est même sur deux lignes comme c’est la tradition sur les claviers PC Azerty. Selon l’usage qu’on fait de cet ordinateur on pourra regretter que cette frappe confortable se fasse au détriment d’un pavé numérique. Les touches de fonction tactiles, y compris la touche Echap (Esc), ne posent finalement pas de difficulté à l’usage car elles réagissent très bien au moindre effleurement. Comme toujours, on peut basculer entre les touches de fonction classiques (F1 à F12) et les touches pratiques permettant d’ajuster volume, luminosité et compagnie. Le touchpad est lui aussi très agréable à manipuler, à partir du moment où on a pris l’habitude de ses dimensions. Assez grand, il est plus ou moins aligné sous la barre espace. Bien que la surface soit en verre et qu’on ne le distingue pas, il y a bel et bien des clics gauches et droits qui se ressentent et s’entendent.

Les performances déçoivent

Sous le capot on trouve un couple CPU GPU qu’on aurait qualifié d’atypique il y a encore un an mais qu’on retrouve désormais chez la plupart des constructeurs, à savoir un CPU ultramobile marié à un vrai GPU. Et pour cause, les performances atteintes par les puces à basse consommation permettent désormais de faire plus et même de jouer, c’est pourquoi on trouve sur ces PC hybrides des cartes graphiques dignes de ce nom qui étaient autrefois réservées aux PC gamer et autres stations de travail mobiles. Avec un Core Ultra 7 155H et une GeForce RTX 4070 Laptop, le XPS 16 dispose des mêmes caractéristiques que le ROG Zephyrus 14 d’Asus testé dans PC Update 126. Ou presque, car en observant de plus près, on constate que la GeForce se contente ici d’un TDP de 60 W contre 80 W sur les Asus et Samsung concurrents. Comment ça se traduit ? Les performances CPU sont d’un excellent niveau, il n’y a rien à signaler. Avec pas moins de 17118 points relevés dans Cinebench R23 en multi on est tout à fait au niveau de ce genre de machine. C’est quasiment le score qu’un Core H de 13e génération fait bien que ce dernier soit bien plus gourmand en énergie.

Pour ce qui est des jeux vidéo en revanche, c’est un peu plus compliqué. Les performances sont environ 17 % moins élevées avec le Dell G16 qu’avec l’Asus ROG Zephyrus G16, pourtant moins cher. Et ça se remarque d’autant plus qu’au lieu d’un écran en 2560 on est ici en 4K. Les jeux compatibles DLSS s’en sortent correctement (généralement 60 FPS ou plus), mais quand il n’y a pas de système de mise à l’échelle c’est plus compliqué et vous devrez abaisser la définition. Le système de refroidissement est suffisamment efficace puisque le CPU ne dépasse pas les 70 °C en charge longue durée (95 °C durant de cours pics) et la carte graphique non plus. En revanche, et malgré l’emploi d’une chambre à vapeur, les ventilateurs ne sont pas les plus discrets. Au repos ils ne se déclenchent presque jamais alors tout va bien. Mais en jouant ou en sollicitant le matériel on dépasse les 48 dBA, c’est plus que l’Asus pourtant un peu plus rapide. La RAM est très performante, c’est de la LPDDR5X-7467 et le SSD est plutôt performant, c’est un Kioxia XG8 de 1 To qui débite en séquentiel à prêt de 7 Go/s en lecture (c’est-à-dire le maximum permis par l’interface PCIe 4.0 4X) et environ 5,5 Go/s en écriture.

Elles sont où les prises USB-A ?

Sur le plan de la connectique Dell a fait le choix très discutable de n’équiper son XPS 16 que de prises USB-C. Sans oublier une sortie jack 3,5 mm combo (casque et micro) et un lecteur microSD (rapide, UHS-II). Alors certes l’USB-C s’impose de plus en plus. Et il est vrai qu’on trouve dans la boîte un tout petit HUB USB-C qui propose une prise USB-A et une prise HDMI, mais si ce genre de choix peut se comprendre à l’échelle des machines les plus fines du marché, Dell a largement la place de souder un vrai port USB-A (ou deux) sur le XPS 16 qui mesure presque 1,9 cm d’épaisseur ! Clés USB, dongle de casque ou de souris sans fil, câble de diagnostique automobile, les appareils en USB-A natifs ne manquent pas alors c’est dommage. Des trois USB-C présent, les deux de gauche sont des prises Thunderbolt 4, celle de droite est une prise USB 3.2 Gen 2 (10 Gb/s) avec DisplayPort pour brancher un écran et Power Delivery pour charger le PC, ces deux fonctions étant bien entendu aussi valables sur les deux USB-C Thunderbolt qui, en plus, offrent une bande passante supérieure (20 Gb/s en USB, 32 Gb/s en PCIe). Le XPS 16 est équipé d’une webcam 1080p qui fait le job. Comprendre par là qu’elle n’offre pas une qualité d’image époustouflante comme c’est généralement le cas sur les webcams natives des PC portables, mais ce n’est pas une catastrophe non plus. On apprécie qu’elle soit aussi infrarouge et compatible avec Windows Hello, l’identification biométrique de Windows 10/11. Et, c’est assez rare pour être souligné, Dell a aussi muni son XPS 16 d’un lecteur d’empreintes digitales, les portables se limitant généralement à une caméra IR ou un capteur d’empreinte seulement. Faute de port Ethernet, la connectivité réseau est totalement sans fil et passer par une carte Killer, à savoir une Intel BE200 Wi-Fi 7 1750 avec une surcouche logicielle visant à optimiser le trafic réseau et favoriser le ping dans les jeux, pour le peu que ça apporte en pratique ; ça peut s’avérer utile pour les plus isolés qui ne bénéficient pas encore d’une connexion très haut débit. Nous avons pour l’instant testé cette carte avec un routeur Wi-Fi 6E, mais c’est un des derniers PC portables testés ainsi car notre protocole de test bénéficiera d’ici peu d’une évolution vers le Wi-Fi 7. On peut copier avec le XPS 16 sans fil à 167 Mo/s, un bon score qui dépasse très nettement les performances d’une connexion filaire gigabit (environ 113 Mo/s réels) et il fait même un poil mieux que la pluspart des PC Wi-Fi 6 et 6E. Cette carte Intel BE200 gère aussi une connexion Bluetooth 5.4.

Autonomie au top

La reproduction audio du XPS 16 repose sur 4 hauts-parleurs, deux « woofer » (2* 3 W) et deux tweeters (2* 2 W). En l’absence de pavé numérique, il y a de la place de part et d’autre du clavier si bien que Dell a usiné de micro trous le revêtement pour placer les hauts-parleurs dessous. Malgré une configuration plutôt bonne sur le papier, la reproduction sonore est plutôt moyenne, avec un manque cruel de basses qui n’est pas vraiment acceptable sur un modèle de 16″ et de ce niveau de prix. Là aussi le Zephyrus G16 fait mieux. A l’instar des machines gamer, le XPS 16 embarque une énorme batterie de 99,5 Wh (le maximum qu’on trouve dans un PC portable, limite imposée par les compagnies aériennes). Sachant que le constructeur à choisi de limiter les performances en optant pour une RTX 4070 à faible TDP on est en droit d’espérer que l’autonomie soit plutôt bonne pour une machine de cette catégorie.

Et c’est le cas ! Avec la luminosité réduite à 200 cd/m² et le profil Quiet activé (qui limite l’écran à 60 Hz), typiquement ce qu’on fera dans un trajet en train ou en suivant un cours en amphithéâtre, on peut travailler (bureautique) ou visionner des vidéos Netflix environ 12h30 ! A titre de comparaison, l’Asus ROG Zephyrus G16 ne dépasse pas 9 heures. Si vous désirez ouvrir la bête, sachez que le capot inférieur se retire assez facilement à condition de posséder un tournevis Torx T5. Dessous, vous aurez accès à la batterie et au SSD et c’est tout. La RAM ou encore le module Wi-Fi sont soudés à même la carte mère. Notons que le SSD peut être double face.

Conclusion

Le verdict du XPS 16 est assez mitigé. C’est une très belle machine, vraiment bien finie et globalement performante. Néanmoins elle coûte cher (même s’il y a toujours pire, en atteste le Samsung Galaxy Book4 Ultra) et ses performances ne sont pas top niveau. Tant la puissance elle-même, la plupart des portables en RTX 4070 et même en RTX 4060 sont plus rapides, mais aussi au niveau du système de refroidissement qui n’est pas le plus silencieux ou encore des haut-parleurs de qualité moyenne. Les performances sont bien sûr de bon niveau, larges pour travailler et suffisantes pour jouer (en QHD sans mise à l’échelle, en 4K avec DLSS). Mais si vous voulez plus rapide, sachez que le ROG Zenbook G16 d’Asus qui est un modèle concurrent en format et configuration fait sensiblement mieux (entre 15 et 20 % plus rapide en jeu) pour quelques centaines d’euros de moins et que ce dernier bénéficie lui aussi d’une finition haut de gamme ! Du reste si vous n’avez que faire du plastique basique ou de l’encombrement, vous trouverez un peu plus rapide à moitié prix. Y compris chez Dell avec par exemple le G16 testé dans Hardware Mag 125. Même si son CPU est encore un Intel de 13e génération. Sa RTX 4060 bénéficie d’un TDP de 140 W et ça libère les fréquences. Mais ces deux machines ne sont vraiment pas d’usage comparable, le G16 étant gros, lourd, moins beau, moins bien fini et peu autonome en comparaison. Parfois on s’aperçois durant nos tests qu’une autre configuration que celle reçue par le constructeur mérite une meilleure recommandation, mais ici la version RTX 4060 et en 16 Go de RAM au lieu de 32 Go qui suffira à beaucoup de monde reste trop chère à 2949 €.

Clavier

Finition

Lecteur d’empreintes et caméra IR

TDP de la carte graphique

Prix

Pas de port USB-A sur la machine

Définition trop élevée pour les performances

5
Prix
7
Portabilité
9
Autonomie
10
Performances Internet / multimédia
7
Performances en jeu
9
Bruit Internet / multimédia
5
Bruit en jeu
6
Connectique
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