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05/09/2024

Numéro 0

Asus Vivobook S 15 OLED (S5507)

Un PC Copilot+ animé par un CPU Qualcomm

Parmi les premiers PC certifiés Copilot+, le jeune label visant à promouvoir l’IA, le Vivobook S 15 OLED compte aussi sur son écran pour vous séduire. Ses performances, notamment en émulation, vous feront-elles oublier Intel et AMD ?

Par : Thomas Olivaux
Prix constructeur et constaté
1499,99 €

Table des matières

Fiche technique

Écran : 15,6" OLED (16:9 2880x1620 120 Hz)

Processeur : Qualcomm Snapdragon X Elite X1E-78-100 (12 cores (8 P-cores + 4 E-cores), jusqu’à 3,4 GHz)

Mémoire vive : 32 Go LPDDR5X-8448

Carte graphique : Qualcomm Adreno intégrée

SSD : M.2 2280 NVMe 1 To

Connectique (gauche) : HDMI, 2* USB Type-C (USB4 avec support affichage et charge), lecteur microSD, jack combo

Connectique (droite) : 2*USB Type-A (3.2 Gen1)

Webcam : 1080p (compatible Windows Hello)

Réseau : Wi-Fi 7

Batterie : 70 Wh

Dimensions : 35,26 x 22,69 x 1,47-1,59 cm

Poids : 1,42 kg

Reprenant le même châssis que les Vivobook S15 S5506 basés sur des CPU Intel et AMD, le Vivobook S15 S5507 sorti fin juin est l’un des tout premiers PC équipés d’un processeur Qualcomm et à bénéficier de la certification Microsoft PC Copilot+. Qu’est-ce qu’un PC Copilot+ me direz-vous ? Lancés en grande pompe au Computex en début d’été, ce sont des ordinateurs portables optimisés pour les usages de l’intelligence artificielle qui, notamment, embarquent un NPU (un processeur spécial pour les calculs de types neuronaux) d’une puissance d’au moins 40 TOPS (Trillion Operations Per Second). Le fait que tous les premiers PC Copilot+ soient équipés d’un processeur Snapdragon s’explique à la fois par le NPU puissant de 45 TOPS intégré au X1 Elite et à la fois par un partenariat entre les deux entreprises, Microsoft ayant optimisé la version ARM de Windows 11 spécifiquement pour ce CPU. Pour autant il y aura aussi des PC Copilot+ tournant sur des puces x86 telles les prochains Intel Core Ultra 200V et Ryzen AI 300 d’ici à la fin de l’année (annonce du 4 septembre). Le cahier des charges Copilot+ comprend aussi une touche spéciale sur le clavier pour lancer l’application Copilot qui est installée par défaut sur ces ordinateurs. Nous reviendrons plus longuement sur ce qu’on peut faire avec un ordinateur Copilot+, ce qu’on en pense et s’il est intéressant de les acheter dans un article dédié dès notre premier numéro, début octobre. Pour le moment on se concentre sur le test de cet Asus qui, à son processeur près, est un laptop comme les autres. Il sort dans une unique configuration affublée d’un écran OLED et de 32 Go de RAM vendue 1499 € sur le site Web du constructeur comme ailleurs.

Look classique et efficace

Si le tarif du Vivobook S 15 OLED de 1499 € laisse à penser qu’il s’agit d’une machine premium, n’oublions pas que ce sont les Zenbook qui sont les PC portables (non-gamer) les plus haut de gamme d’Asus. Tout ça pour dire que le PC du jour bénéficie d’une finition d’un bon niveau mais qu’il ne faut pas s’attendre non plus à trouver un châssis en aluminium taillé dans la masse ni même avec un alliage de carbone ou autre matériau sophistiqué. Oui mais c’est un Vivobook S, pas un vulgaire Vivobook tout en plastique ! Ce Vivobook S 15 OLED repose donc sur un châssis en aluminium de couleur argentée au finish satinée, seul le logo du capot étant brillant. En ouvrant l’écran, on tombe face à un bel écran entouré de bordures très fines à droite et à gauche et, en bas, un clavier complet incluant un pavé numérique qui surplombe un grand touchpad. Le clavier est confortable à utiliser même si ses touches n’offrent qu’assez peu de course et un toucher plutôt mou. Le pavé numérique est un peu étroit, il faut s’y faire. Il en va de même pour le curseur.

La nouvelle touche Copilot+, sans intérêt.

La touche Ctrl droite du clavier est remplacée par la fameuse touche Copilot qui n’est qu’un raccourci vers le logiciel du même nom, à savoir la fonction d’assistance par IA de Windows 11. Le touchpad glisse bien, les clics aussi bien qu’ils ne soient pas super francs. Au global, rien de très novateur, mais la recette est bonne et l’impression de qualité est bien présente. L’écran est surmonté d’une webcam FullHD meilleure que la moyenne. Ou plutôt le traitement logiciel du Snapdragon la rend probablement meilleure, car ça fait partie des usages accélérés par l’IA. Rendez-vous dans notre prochain article sur Windows 11 et les PC Copilot+ pour détailler tous les usages spécifiques à ce genre de machine, qui restent encore un peu gadgets, on peut le dire tout de suite. L’image délivrée par cette Webcam est donc plutôt bonne même si, dès que la lumière baisse, le lissage devient grossier. Elle est compatible Windows Hello pour l’authentification par reconnaissance faciale.

La webcam profite d’un cache mécanique pour la rendre aveugle.

OLED un jour, OLED toujours

C’est un nouveau PC Asus, ils sont désormais très nombreux, à proposer une dalle OLED. Cet écran de 15,6″ à la finition brillante est au format 16/9et offre une définition élevée assez peu courante de 3K, c’est-à-dire 2880×1620. Et, bien qu’il ne faille pas rêver de jouer comme un fou avec un tel PC conçu pour surfer et travailler, sachez que cet écran bénéficie aussi d’un rafraîchissement à 120 Hz. Sur le papier, c’est donc un très bel écran, même si le ratio 16/9e le rend plus propice au divertissement qu’à la productivité (il y a moins à scroller sur un écran 16/10e). Cet écran offre une luminosité plutôt moyenne, mesurée au maximum à 372 cd/m² avec notre sonde. Les meilleurs laptops atteignent 500 cd/m², mais les plus mauvais sont plutôt vers 300. Celui-ci s’en sort donc juste correctement mais sachez qu’en raison de sa dalle brillante n’étant pas traitée antireflet vous ne pourrez pas vous en servir confortablement en extérieur. Même pas du tout si le soleil est de sortie ; on est tentés de se dire que ça n’est pas vraiment la raison d’être pour un notebook de 15,6″, mais sachant qu’il offre une bonne autonomie et qu’il ne pèse que 1,4 kg, vous risquez quand même de le trimballer un peu partout. En revanche, entre les noirs profonds de l’OLED (contraste virtuellement infini) et les couleurs rendues encore plus vibrantes avec cette dalle brillante, utiliser cet ordinateur en intérieur est très agréable. Les couleurs sont en plus très justes quand on sait que la calibration d’usine propose un deltaE de 1,5 (pour rappel, l’œil humain ne perçoit plus de variation sous deltaE = 3). On note juste une température un tantinet fraîche avec 6801 °K relevés pour une norme à 6500 °K. En bref, sans être le meilleur écran qui soit, il est agréable à utiliser. L’écran peut s’ouvrir complètement grâce à une charnière à 180°.

Pour ouvrir le capot du Vivobook S 15 OLED il y a 11 vis Torx à retirer, deux étant cachées.

Un cœur ARM qui défie x86

Un PC qui n’utilise pas un processeur x86 est-il vraiment un PC ? Pas selon Intel qui a inventé les processeurs x86 en 1978 et qui, grâce à IBM, est devenu l’architecture standard du PC depuis 1981. Et qui vend des licences à tour de bras depuis, notamment à Microsoft et AMD. D’autres architectures CPU ont déjà connu des périodes de succès, tel que les 68k, RISC, les PowerPC, les Alpha, mais rien n’a finalement pris dans l’univers du PC. En revanche les CPU ARM, dont l’origine remonte quand même à 1990, ont littéralement explosé depuis l’avènement des smartphones à la fin des années 2000. Et si la tentative d’en équiper des PC tente Microsoft depuis longtemps, notamment depuis 2017 et la sortie de Windows 10 pour ARM et depuis quelques tablettes Surface maison, c’est surtout grâce à Apple et ses puces M1 et suivantes que les choses se sont accélérées. Et vous vous rappelez que Nvidia voulait acquérir ARM ? Ce n’est pas pour rien ! Les processeurs x86 ne sont pas près de disparaître de nos PC, mais quand on lit comme Intel est en crise en ce moment, quand on se dit qu’AMD n’aurait sans doute aucun scrupule à abandonner x86 pour ARM et quand on sait que Nvidia a pour ambition de proposer des processeurs PC ARM d’ici quelques années, on est en droit de se poser des questions. Et Microsoft bouge donc ses pions, petit à petit. Dans le Vivobook S15 OLED (S5507) on trouve donc le fameux Snapdragon X Elite de Qualcomm, dans sa plus petite version baptisée X1E-78-100. Il renferme 12 cores Oryon, plus précisément 8 P-cores et 4 E-cores, qui tournent jusqu’à 3,4 GHz. Véritable SoC, cette puce renferme aussi un GPU Adreno annoncé à 3,8 TFLOPS, un NPU Hexagon de 45 TOPS sans oublier un contrôleur mémoire LPDDR5x-8448. Une vitesse de RAM étonnamment rapide, plus rapide que la LPDDR5x-7467 déjà très véloce des Core Ultra (Meteor Lake) sortis toute fin 2023. À titre de comparaison, le NPU des Meteo Lake n’est capable que de 11 TOPS.

Windows 11 24H2 est déjà installé sur les PC Copilot+.

Quid des performances ?

C’est bien beau tout ça, mais comment on teste un processeur ARM ? De la même manière qu’un x86, tout simplement ! D’un point de vue des logiciels il faut des programmes optimisés et compilés pour ARM, c’est vrai, mais la grande majorité des logiciels normaux (les programmes x86 et leurs pendants 64 bits x64) tournent sans souci grâce à Prism, l’émulateur nettement optimisé de Microsoft intégré à Windows 11 24H2 qui débarque sous peu et qui était déjà installé sur ce PC ARM. On fera un zoom approfondi sur Prism dans notre prochain article traitant des PC ARM, mais voici ce que donne le Vivobook S15 OLED et son Snapdragon à l’usage. Sans être aussi incroyable qu’on aurait pu le croire avant le lancement, ce processeur s’en sort quand même très bien. Il est légèrement plus rapide que le Core Ultra 155H, lui-même plus véloce que le M3 8 cores d’Apple. Il est en revanche un peu moins performant qu’un Ryzen 7 8845HS et sensiblement moins qu’un Core Ultra 9 185H (20 % d’écart) qu’on trouve pourtant dans des PC à 1500 €. En réalité, quand on exploite des logiciels natifs ARM comme Office 365, Photoshop, Chrome, Spotify pour ne citer que les plus connus, les performances sont très proches de celles du Core i9 et parfois même devant. Mais quand on exécute des logiciels x86 via Prism, même si c’est transparent pour l’utilisateur, on perd beaucoup.

Quand on exécute la version x86 de CPU-Z il ne s’affiche pas grand-chose.

Par exemple avec CPU-Z dont une version ARM est sortie en début d’année, le benchmark intégré présente un écart de quasiment 30 % entre la version native ARM et la version émulée x86. Et bien que cette émulation soit assez performante, il faut toujours s’attendre à quelques bugs et incompatibilités. Comme ce message d’erreur de CPU-Z (version x86) au lancement. Comme League of Legends ou Lost Ark qui refusent de se lancer, bloqués par leurs logiciels antitriche intégrés. À propos de compatibilité des jeux, on vous invite à consulter le site Windows on Arm Read Software www.worksonwoa.com qui liste des centaines et des centaines de jeux en précisant le niveau de compatibilité. Au-delà de cette problématique, il ne faut de toute façon pas s’attendre à des miracles car l’IGP est d’une puissance toute relative sans même parler de la définition très élevée de l’écran. Pour être plus concrets, on peut jouer en 1920×1080 a des jeux de qualité mais plus tout jeune, par exemple Shadow of the Tomb Raider de 2018, à condition de se satisfaire d’environ 30 FPS. Cyberpunk et autres jeux très costauds ? Oubliez. Les 32 Go de RAM sont très largement dimensionnés si bien que vous n’aurez aucun problème à conserver ce laptop des années durant. Tant mieux vu qu’il s’agit, on s’en serait doutés, de mémoire soudée. Le SSD est un modèle NVMe en PCIe 4.0 qui est à la hauteur avec 5 Go/s en lecture et 3,7 Go/s en écriture sur CrystalDiskMark. Un rapide mot sur le silence qui est très bon sur ce PC. Le système de refroidissement reste totalement inaudible au quotidien et, quand on tire dans le CPU (qui a quand même un TDP de 45 W) on ne dépasse pas les 43,5 dBA grâce à deux grands ventilateurs et deux caloducs.

Autonomie (presque) digne d’un Mac !

On apprécie la connectique de ce PC qui ne fait pas dans l’austérité. Il n’y a rien d’incroyable à signaler, mais le simple fait d’avoir quatre USB (deux Type-A et deux Type-C) est presque un exploit aujourd’hui sur une machine de moins de 1,5 kg. Le HDMI plein format est aussi appréciable pour brancher un écran externe ou une TV, en sachant que les deux USB-C sont aussi compatibles DP Alt-mode et que l’IGP Qualcomm gère jusqu’à 4 écrans simultanés à l’image de ce que font AMD, Intel et Nvidia. Le réseau est confié à Qualcomm également qui propose du Wi-Fi 7 FactConnect 7800 qui, comme son nom ne l’indique pas, grimpe jusqu’à 5,8 Gb/s (standard pour du Wi-Fi 7 2×2 en somme). Nous l’avons pour le moment testé uniquement en Wi-Fi 6E et avons pu atteindre un débit en copie fort honorable de 169 Mo/s, c’est parmi les meilleurs résultats jamais atteints dans notre labo (NDLR : qui était celui des magazines PC Update et Hardware Mag pour les mauvaises langues qui seraient tentées de dire « normal, vous débutez à peine » :p). Le son du PC n’est vraiment pas son point fort. Il n’y a que deux haut-parleurs et ils sont orientés en bas, si bien que la qualité est exécrable si on le pose sur un lit par exemple pour visionner un film le soir. Et même sur un bureau, c’est écoutable, mais sans plus. A contrario l’autonomie est un atout de ce PC. Ou peut-être de tous les PC à base de Snapdragon. Quoi qu’il en soit, c’est le premier qu’on essaie, il n’offre pas loin de 15 heures d’autonomie en visionnage Netflix avec la luminosité à 150 cd/m² (assez basse) et le Wi-Fi actif. En bureautique il tient environ 11 heures, ce n’est pas encore autant qu’un MacBook et moins que les 18 heures annoncées par Asus, mais c’est mieux que la grande majorité des portables Intel en Core Ultra.

Conclusion

Les PC portables d’Asus sont rarement mauvais et le Vivobook S 15 OLED ne déroge pas à la règle. C’est une machine de qualité, équilibrée dans sa configuration qui ne souffre d’aucun défaut vraiment notable si ce n’est les reflets de son écran sans doute. Mais il est trop cher. Vraiment trop cher. Une machine pareille devrait être dans les 1000 euros pour être réellement attractive. Du reste si le châssis vous plaît, sachez qu’on trouve la version Core Ultra 7 155H qui est globalement plus performante (surtout dans le cas des applications non natives ARM, c’est-à-dire la majorité) entre 1200 et 1300 €. Mais il est vrai que d’autres machines qualifiées de premium comme le Dell XPS 16 sont encore plus onéreuses, 2600 € pour une version Core Ultra 7 155H/32Go/1 To ! Quant aux autres PC Copilot+ avec ce CPU Qualcomm que ce soit ceux de Samsung ou Lenovo, ils ne sont pas moins chers non plus. Alors finalement, trop cher l’Asus ou pas ? On vous laisse trancher, mais il ne mérite pas notre award.

Autonomie

Écran OLED

Pas avare en connectique

Performances en émulation x86

Prix

Reflets sur l’écran

5
Prix
7.5
Portabilité
10
Autonomie
8
Performances Internet/multimédia
2
Performances en jeu
9
Bruit Internet/multimédia
8
Bruit en jeu
7
Connectique
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